Bulletins parus en 2016

  • Janvier 2016 :
    Les précipitations ont été inférieures aux normales sur la plus grande partie du bassin Loire-Bretagne de septembre à décembre 2015, entrainant une situation déficitaire aussi bien pour le débit des rivières que pour les nappes souterraines et les retenues artificielles. La première décade de janvier marque enfin le retour de précipitations notables et un début significatif de reconstitution des réserves en eau du bassin.
  • Mars 2016 :
    Les précipitations supérieures aux normales pendant les mois de janvier et février ont permis aux réserves en eau du bassin de commencer à se reconstituer ; les précipitations à venir sur la période printanière resteront déterminantes pour la poursuite de cette reconstitution.
  • Mai 2016 :
    Les précipitations qui se sont poursuivies, de façon le plus souvent supérieures aux normales, de janvier à avril, ont maintenant permis une bonne reconstitution des réserves en eau du bassin, qu’il s’agisse en particulier des nappes souterraines ou des réserves artificielles ; les débits des rivières sont pour la plupart supérieurs aux valeurs moyennes du moment, sans qu’on ait observé de crue notable.
  • Juillet 2016 :
    De fortes précipitations en mai et juin, en provoquant des crues sur de nombreuses rivières du bassin, ont achevé la reconstitution des réserves en eau du bassin et retardé le début de l’étiage.
  • Aout 2016 :
    Un mois de juillet particulièrement sec a fait évoluer défavorablement la situation hydrologique sur l’ensemble du bassin Loire-Bretagne. La sévérité de l’étiage, plus marquée au sud-ouest du bassin, reste cependant tempérée par la bonne reconstitution des réserves permise par le printemps humide.
  • Septembre 2016 :
    Le mois d’août, comme celui de de juillet, a été particulièrement sec sur l’ensemble du bassin Loire-Bretagne. La sévérité de l’étiage, nettement marquée au sud-ouest du bassin, reste cependant encore tempérée par la bonne reconstitution des réserves permise par le printemps humide.
  • novembre 2016 :
    Le déficit pluviométrique qui prévaut depuis le mois de juillet se poursuit encore en ce début novembre ; il se répercute sur le débit de rivières, sur les milieux naturels, sur les nappes ainsi que sur les réserves artificielles dont la sollicitation se poursuit.

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